Le gouvernement irakien se plie face aux pressions contestataires. Il donne son feu vert à des réformes majeures contre la corruption proposées par le Premier ministre Haider Al-Abadi.
Rien n’est encore gagné, car certaines réformes doivent faire l’objet d’un amendement constitutionnel, avant d’être soumises à l’approbation du Parlement, là où la bataille promet d’être dure.
Plus de détails avec Manal Al Akhdari